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Les Voraces
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17 janvier 2022

Et le ciel sera bleu – La pension du bord de mer 01 – Tamara McKinley

 

Ciel

 

Édition : Archipoche

Parution : Novembre 2016 pour la présente édition

Genre : Romance historique

 

Après un bouquin de bit-lit, un young adult fantastique et le cauchemar du deuxième tome de 365 jours, j’ai eu besoin de changement. Depuis quelques mois, une saga me faisait de l’œil – et oui les bouquins passent leur temps à me draguer ces petits gougnafiers -, celle de madame McKinley, La pension du bord de mer. Il faut dire que j’aime bien les trucs historiques… En plus le premier opus était disponible dans la médiathèque de ma ville :

Angleterre, 1939. Sally Turner, 16 ans, s'occupe seule de son frère Ernie, 6 ans, atteint de polio. Leur mère, l'inconséquente Florrie, les a abandonnés dès que la guerre a éclaté, tandis que leur père a été appelé sous les drapeaux.Les deux enfants trouvent refuge à Cliffehaven, une bourgade de la côte sud de l'Angleterre. Là, ils sont accueillis par Peggy Reilly, la propriétaire de la pension du Bord de Mer.Sally trouve, auprès de la famille Reilly, un foyer d'adoption qui lui permettra de s'épanouir, et un emploi dans une usine de confection d'uniformes, où ses talents de couturière se révéleront. La jeune fille fait en outre la rencontre de John Hicks, un séduisant pompier. Mais l'arrivée de Florrie à Cliffehaven menace de chambouler ce fragile équilibre...En pleine Seconde Guerre Mondiale, cette nouvelle saga met en scène des personnages gravitant autour du couple pittoresque qui dirige la pension. Et le ciel sera bleu est le premier volet.

Avant de te livrer mon impression sur Et le ciel sera bleu, il va me falloir te confesser quelque chose ami-lecteur. Encore une fois, je n’ai pas assez pris le temps de me renseigner avant de me lancer dans ma lecture. Je ne l’ai vu qu’après mais La pension au bord de mer est une saga sentimentale. Là tu vas me demander où est le problème puisque je lis régulièrement de la romance. Sauf que je n’avais pas envie de romance. Du tout.

Pourquoi donc te prévenir ? Parce que cela joue peut-être sur la manière dont j’ai apprécié ma lecture. Sincèrement je n'ai pas passé un moment désagréable, on s’attache sans difficulté à Sally et Ernie, ces deux londoniens réfugiés dans une pension de famille. C’est frais, c’est mignon, c’est plein de bons sentiments. Sally est jeune, 16 ans, Sally est courageuse, Sally est travailleuse, Sally est généreuse. J’avais un tantinet envie de la tabasser. Trop de perfection, voilà ce que j’ai pensé tout au long de ma lecture. Sally donc, qui s’occupe avec amour et abnégation de son frère… Mais aussi tous les autres, Peggy la mère parfaite – ou presque -, John, si séduisant, Anne l'instritutrice amoureuse,… Bien entendu il y a quelques personnages moins sympathiques mais on les croise à peine. Sincèrement, c’est le genre de bouquin à réserver quand on a la grippe ou la gueule de bois car c’est si lisse que ça ne peut pas nous perturber. Le malheur n’est pas absent, après tout on est en pleine guerre… Mort, blessé, blablabla… Sauf que même le malheur semble trop propre dans Et le ciel sera bleu.

Je ne vais pas te mentir ami-lecteur, j’aime la légèreté hein, je ne veux pas forcément du drame et de la tragédie, de la sueur, des larmes et du sang, mais pour qu’un roman m’emporte complètement, il faut qu’il me donne à ressentir. Là c’est juste mignon. Comme un téléfilm d’après-midi sur TF1 ou M6…

À réserver à ceux qui veulent des bons sentiments et de la fraîcheur sur fond de Seconde guerre mondiale. Personnellement, je ne me plongerai sans doute pas dans la suite…

 

Note Globale : 09 / 20

 

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