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Les Voraces
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19 janvier 2021

Pilotes en série – La Chronique des Bridgerton

      Alors que depuis le début de cette sous-catégorie Pilotes en série, je laisse le hasard décider de l'objet du prochain article, j'avoue cette fois avoir enfreint les règles du jeu -bouh, pas bien!-. Laisse-moi t'expliquer pourquoi ami-lecteur... Tu sais combien j'aime lire et peut-être aussi comme je suis attachée à certaines saga, or la série qui nous intéresse aujourd'hui est l'adaptation de l'une d'elle. La Chronique des Bridgerton, de Julia Quinn, c'est de la roman régence, en d'autres termes de l'amour qui froufroute grave. Si tu veux en savoir un peu plus sur les bouquins, tu peux déjà aller lire la chronique consacré au premier opus...

      Quand Netflix a annoncé son projet, j'ai été emballée. Puis un peu moins quand on appris que Shonda Rhimes travaillait dessus. Tu vois pas qui c'est ? Elle est dans l'équipe à qui l'on doit Grey's Anatomy. Voilà, voilà... Alors ?

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Pays : U.S.A

En diffusion depuis  : décembre 2020 sur Netflix

Création de : Chris Van Dusen

Genre : Romance, historique, drame

Nombre d'épisodes : 8 (environ 60 min/épisode)

      Soyons clair ami-lecteur, je ne vais pas essayer de mettre le bouquin de côté, et non... J'assume que, tout au long de mon visionnage, puis de l'élaboration de cette bafouille, le roman de Julia Quinn soit resté dans mon esprit...

       Les huit enfants de la fratrie unie des Bridgerton cherchent l'amour et le bonheur dans la haute société londonienne.

     Commençons par parler du choix de casting... La boîte de production de madame Shonda Rhimes est inclusive, nous avons donc dans les Bridgerton, des acteurs de toutes les couleurs de peau. Je dois bien avouer que cela m'a un peu perturbée puisque cette question est complètement absente des bouquins. Dans la série c'est un fait qui n'a aucune incidence sur le série et j'ai dû mal à comprendre comment cela peut être pertinent. Alors on peut justifier ce choix pour la reine Charlotte, la femme de George III, elle est noire mais ses origines (lointaines) africaines font effectivement l'objet de débats entre les historiens. Ce qui me questionne c'est pour le reste du casting... Bref, je préfère laisser mes perplexités de côté et me préoccuper plutôt du scénario et du jeu d’acteur...

      Comme toujours je comprends qu'une adaptation n'est qu'une interprétation mais j'ai trouvé que les personnages créés par Julia Quinn perdaient beaucoup dans la série. Vraiment beaucoup... Daphné manque de caractère, Eloïse devient une mini-féministe, Madame Bridgertin -la mère du clan, si chouette dans les livres- manque singulièrement de charme,... L'humour, à la fois tendre et sarcastique, qui fait le sel de l'autrice, a presque totalement disparu. S'il y a quelques bonnes choses, par exemple on ne cherche pas à nous faire croire que l'héroïne a d'autres choix que le mariage comme facteur de statut, je suis déçue. Je pense pourtant visionner la suite parce que vu la richesse de l'histoire du premier tome de la saga, la série a encore le temps de me surprendre...

       Pour préparer ma rédaction, et mettre le lien de la critique de Daphné et le Duc, je suis allée voir nos articles sur les Bridgerton. Et là... Misère ! Nous n'avons jamais chroniqué les deux derniers volumes. Ouais, honte sur nous, toussatoussa. Du coup, promis, je prévois de le faire dans les prochaines semaines. 

Note : 10 / 20

 

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Commentaires
E
Ouais je vais me contenter des romans hein j'ai d'autres trucs à faire que regarder cette série. Dommage !
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